Tartufferie 14 novembre 2016
Les politiciens se demandent pourquoi la population est septique, sévère, crédule et sarcastique envers les politiciens. Cette semaine ces mêmes politiciens nous ont offert du tartuffe à son meilleur.
Les politiciens se demandent pourquoi la population est septique, sévère, crédule et sarcastique envers les politiciens. Cette semaine ces mêmes politiciens nous ont offert du tartuffe à son meilleur.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas entendu un discours aussi rassembleur qui abordait sans ambigüité tous les dossiers comme un vrai chef devait le faire.
Avec la démission et le départ de Pierre Karl Péladeau le parti Québécois a délaissé l’opposition officielle pour se lancer dans une longue course à la chefferie.
La nième course à la chefferie du parti Québécois (PQ) est officiellement lancée avec cinq candidats en lisses et je suis personnellement heureux de constater qu’elle est mois médiatisée comme celle amenant Pierre Karl Péladeau à la tête du parti.
Le député du parti Québécois dans le comté de Rosemont Jean-François Lisée se lance dans la course à la direction du Parti en promettant de ne pas tenir de référendum dans un premier mandat.
Quel coup de théâtre aujourd’hui que l’annonce de la démission immédiate et sans lendemain du chef du parti Québécois Pierre-Karl Péladeau.
Il y a 20 ans la population du Québec est venue bien proche d’avoir le droit et le pouvoir d’enclencher le processus faisant du Québec un pays.
Jacques Parizeau éminence grise de plusieurs gouvernements, bougie d’allumage et mentor du Québec moderne nous a quittés. Économistes les plus brillants de son temps et pédagogue exceptionnel il a consacré une bonne partie de sa vie au Québec et aux Québécois.
Est-ce que la venue de Pierre Karl Péladeau comme le chef d’opposition officielle à l’assemblée nationale fait sortir les vieilles rengaines de politiciens apeurés?
Contrairement à ce que certains pensent, le candidat à la chefferie du parti Québécois Pierre Karl Péladeau ne perd pas de plumes mais consolide plutôt son avance.