Tout un gâchis
Nous apprenons que les dirigeants de Bombardier dont son PDG Alain Bellemare discute avec le conglomérat américain Textron afin de vendre sa division d’avions d’affaires, qui emploie des milliers de personnes au Québec.
Nous apprenons que les dirigeants de Bombardier dont son PDG Alain Bellemare discute avec le conglomérat américain Textron afin de vendre sa division d’avions d’affaires, qui emploie des milliers de personnes au Québec.
L’avioneur Airbus avait pris, en 2018, le contrôle du programme C Series de Bombardier et qu’il l’a depuis rebaptisé A220. La compagnie française détient 50,01% de ce qui s’appelait avant C Series, Bombardier et Investissement Québec ont conservés respectivement 34% et 16% du programme.
Depuis que le gouvernement du Québec a déployé un parachute de plus d’un milliards de $ à Bombardier, la compagnie n’a pas arrêté de se départir de ses avoir.
Contrairement à ce qui avait été promis lors de la vente de la CSeries, la compagnie Bombardier annonce une restructuration majeure menant à la suppression de 2500 postes au Québec.
Lors du seul débat télévisé, le premier ministre sortant Philippe Couillard ainsi que le chef de la coalition avenir Québec François Legault demandent aux Québécois d’exercer leur droit de vote en effectuant un vote stratégique.
D’après les derniers sondages en rapport avec les élections provinciales qui auront lieu le 1ier octobre prochain il semble que les Québécois sondés veulent du changement. Le parti de François Legault la coalition avenir Québec (CAQ) apparaît dans les sondages comme celui qui incarne le changement tant voulu par les Québécois.
Le ministère des finances par sa vérificatrice générale nous annonce que le parti libéral de Philippe Couillard a effectué des prévisions budgétaires plausibles jusqu’en 2021.
Les vacances d’été nous ont fait oublier que c’est en juillet 2018 que la C Series de Bombardier est devenue officiellement sous le contrôle d’Airbus mettant ainsi fin à la destinée de l’avion québécois.
La première élection qui intervient avec la nouvelle politique d’élection à date fixe donne droit à un débordement d’annonces nous laissant dans le doute sur leur réalisation réelle.
Nos politiciens de tous les niveaux ont perdus le nord et la boussole des dépenses est rendue folle.