Enfin soulagé 21 janvier 2014
C’est un Claude Robinson soulagé mais amer qui s’est présenté aux médias quelques semaines après le jugement de la Cour suprême qui lui a donné entièrement raison sur la propriété intellectuelle de son œuvre.
C’est un Claude Robinson soulagé mais amer qui s’est présenté aux médias quelques semaines après le jugement de la Cour suprême qui lui a donné entièrement raison sur la propriété intellectuelle de son œuvre.
Depuis un an et demi on a vu des bandits à cravate parader à la commission Charbonneau, s’excuser, dire que je n’aurais pas dû ou s’en laver les mains.