Un affront aux Québécois
Notre fleuron Québécois Bombardier continue sa grande liquidation au détriment des payeurs de taxes du Québec.
Notre fleuron Québécois Bombardier continue sa grande liquidation au détriment des payeurs de taxes du Québec.
Nous apprenons que les dirigeants de Bombardier dont son PDG Alain Bellemare discute avec le conglomérat américain Textron afin de vendre sa division d’avions d’affaires, qui emploie des milliers de personnes au Québec.
L’avioneur Airbus avait pris, en 2018, le contrôle du programme C Series de Bombardier et qu’il l’a depuis rebaptisé A220. La compagnie française détient 50,01% de ce qui s’appelait avant C Series, Bombardier et Investissement Québec ont conservés respectivement 34% et 16% du programme.
Depuis que le gouvernement du Québec a déployé un parachute de plus d’un milliards de $ à Bombardier, la compagnie n’a pas arrêté de se départir de ses avoir.
Après avoir vendu en 2016 à l’entreprise Viking Air Limited sa gamme d’avions amphibies soit les modèles CL-215, CL-215T et l’avion Bombardier 415, de s’être départi de son site Torontois d’assemblage d’avions, d’avoir céder le contrôle de la CSeries à Airbus, la compagnie Bombardier vient de vendre sa Q Series à l’avionneur Longview Aircraft, une filiale de Viking Air.
Contrairement à ce qui avait été promis lors de la vente de la CSeries, la compagnie Bombardier annonce une restructuration majeure menant à la suppression de 2500 postes au Québec.
Les vacances d’été nous ont fait oublier que c’est en juillet 2018 que la C Series de Bombardier est devenue officiellement sous le contrôle d’Airbus mettant ainsi fin à la destinée de l’avion québécois.
Sous la gouverne libérale le Québec vient de perdre un autre fleuron Québécois en laissant Bombardier se départir de la C Séries qui avait couté très cher aux contribuables.
Malgré la grogne populaire l’assemblée des actionnaires de Bombardier a approuvée à 93,47 % la politique de rémunération des patrons de l’entreprise.
Les dirigeants de bombardier ont ris des Québécois en se votant pour 2016 des augmentations de plus de 40% avec notre argent durement gagné.