Pointe de l’iceberg
Quand un dirigeant d’entreprise avoue candidement et sans regret à Montréal, la métropole française du Québec, qu’il doit accommoder les Québécois français en disant quelques mots dans notre langue nous constatons malheureusement un point de non retour.
Le tout a commencer lorsque le gérant des ventes de la boutique montréalaise d’Adidas sur la rue Sainte Catherine à Montréal, qui venait de rouvrir ses portes après des mois de rénovations, John Summers a fait un discours de bienvenue en anglais. Le gérant de la boutique Alexandre Des Roches s’est senti obligé de mentionné qu’il se devait d’accomoder les médias francophones ainsi que la ville de montréal en disant quelques mots en français.
Et bien oui nous en sommes rendu là dans notre belle métropole. Le simple fait que ces dirigeants puissent lancer de telles idioties publiquement au Québec vaut mieux que toutes les enquêtes sur le recul du Français au Québec.
Dans le même temps le rapport de la vérificatrice nous apprend que la majorité des immigrants, complétant le cours de francisation, ne peuvent s’exprimer quotidiennement en français. Imaginez maintenant qu’il entre au pays des centaines de milliers d’immigrants annuellement et surtout dans notre métropole française.
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