Québec, le 2 novembre 2006
Du laisser-aller
(Suite aux propos de Jean-Marie de Konink sur le laisser-aller en sécurité routière)
Je suis entièrement d’accord avec les propos de Jean-Marie de Konink parut dans le soleil du 2 novembre concernant le laisser-aller des dernières années en matière de sécurité routière.
Il ne faut pas oublier que durant près de deux ans qu’à l’instar des policiers de la sûreté municipale de Québec, ceux de la sûreté du Québec ont exercés des moyens de pression afin de priver le Gouvernement de sommes d’argent mais cela au détriment de la population en fermant les yeux sur plusieurs infractions qui privaient la population de la sécurité dont elle avait pleinement le droit d’avoir.
De ce fait, les conducteurs ont été laissés à eux même et ainsi négligé plusieurs principes de base de la sécurité (vitesse limite largement dépassé, ne pas signaler leur intention de dépasser, passer sur des feux rouges, ne pas immobiliser son véhicules aux arrêts, virage à droite sur feu rouge même si c’est défendu etc.). Ce laisser-aller généralisé est devenu une coutume pour certains automobilistes.
Il faut donc intensifier la sensibilisation et augmenter la surveillance.