Tout le monde se pose la question pourquoi les différents paliers de gouvernement tolèrent autant le blocage des transports par quelques militants de toutes sortes qui tiennent en otage des milliers de citoyens?
Si c’était des étudiants en revendications ou un groupe de syndiqués en négociations qui décidaient de bloquer une voie de circulation pour toute sorte de raison il y a longtemps que les policiers seraient intervenus et les manifestants auraient eus droit à des contraventions salées. Souvenons-nous de la crise étudiante de 2012, des manifestations de carrés rouges et des nombreuses arrestations.
Dans le cas de ce conflit né dans cette communauté autochtone du nord-ouest de la Colombie-Britannique le premier ministre canadien a laissé la situation se détériorée. De ce fait elle s’est propagée telle une traînée de poudre dans d’autres régions du pays, avec son lot de perturbation.
La problématique des amérindiens est une responsabilité fédéral mais le gouvernement de Justin Trudeau est prompt à refiler aux provinces cette patate chaude. Comment maintenant régler cette gestion brouillonne de la crise?