Québec, le 25 avril 2007
De la rancune
(En réponse à l’article de l’ex-conseiller municipal Monsieur Henry Jenkins dans le journal de Québec du 25 avril intitulé Honte au RMQ)
Dans le cas de Monsieur Jenkins, la turpitude qu’il impute au Renouveau municipal de Québec dans l’article fait place à de la rancune et de la démagogie. Il a manqué un bout de débat lorsqu’il était conseiller municipal car la plupart de ceux et celles qui étaient contre les fusions entérinaient le changement des noms de rues pour une question de sécurité dont la mairesse actuelle qui en a même rajouté. D’ailleurs la plupart des noms de rues ou avenues invoquées étaient là avant les fusions.
Il semble que les représentants de la société d’état Hydro Québec ait pris plus de trois minutes afin d’effectuer le délestage du secteur ou faisait rage l’incendie dans un édifice à logement abritant des familles. Il m’apparaît impossible que les représentants de la société d’état se soient butés à des noms de rue car la rue Raoul Jobin était très bien connue. D’autant plus que ces mêmes représentants s’y étaient rendus il y a un mois pour un autre feu d’une ampleur considérable au le coin de la rue Durocher qui avait abrité le célèbre Raoul Jobin. En plus la facture d’hydro-Québec arrive à la bonne adresse et à temps pour le paiement.
Monsieur Jenkins devrait laisser sa rancune de côté et s’informer davantage car, d’après la conversation retranscrite, il apparaît que la vraie raison de ce retard de délestage est liée au fait que la société d’état ne voulait pas priver de courant tout un secteur ce qui a provoqué le retard.