28 février 2013
Dans l’œil du cyclone
D’un témoin à l’autre les révélations faites à la commission Charbonneau sont explosives et incriminante. En effet la table fut d’abord mise par le témoin Lino Zambito qui a déclaré que la collusion avec était le seul moyen de travailler à Montréal et qu’il fallait pratiquer la corruption de fonctionnaire.
D’ailleurs l’ingénieur corrompu de la ville de Montréal Gilles Surprenant l’a confirmé et s’est même excusé en mentionnant qu’il jouait au casino pour remettre l’argent reçu illégalement. L’ex-travailleur d’élection Martin Dumont a vu des sommes d’argent illégales circuler à l’hôtel de ville a fermé les yeux et regrette maintenant de ne pas l’avoir dénoncé. Un autre ingénieur Luc Leclerc a avoué avec compassion s’être fait corrompre.
Un témoin employé d’une firme d’ingénieur Michel Lalonde a confirmé qu’il remettait personnellement à des fonctionnaires ou des hommes politiques de grosses sommes d’argent. Quand aux entrepreneurs collusionnaires ils ont pratiqués l’omerta.
Toutefois nous venons d’atteindre l’œil du cyclone avec le témoin Robert Marcil ex-cadre à la ville, patron d’employés corrompus et amis avec des collusionnaires qui affirme n’avoir jamais vu la corruption érigée en système autour de lui.