Crier au loup trop tard 14 janvier 2012

Québec, le 14 janvier 2012

Crier au loup trop tard

Le maire Régis Labeaume vient de crier au loup lorsque sa bergerie est entièrement décimée. En effet pendant qu’il se pavanait dans le grand nord avec le premier ministre du Québec donnant inutilement son aval au plan nord, à Québec le propriétaire et milliardaire de papiers white Birch Peter Brant fermait son usine et disparaissait avec le fonds de pension des employés.
Loup
De ce fait, pendant la débâcle des trois usines québécoises de Papiers White Birch le père Christopher Brant a empoché près de 30 millions $ dans les 2 dernières années en frais de gestion. Dans le même temps les propriétaires laissaient crouler sous des dettes les régimes de retraite des employés affichant un manque à gagner de plus de 300 millions de $.

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Au lieu de voyager et de crier au loup trop tard, le maire Labeaume devrait s’occuper de sa ville et de ses citoyens.

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