Anguille sous roche 21 novembre 2016

21 novembre 2016

Anguille sous roche

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) du gouvernement du Québec a rejeter les 37 plaintes logées par des femmes autochtones contre des policiers de Val-d’Or. Il a précisé que l’absence d’accusations ne signifie pas que les allégations n’étaient pas fondées, mais que les preuves étaient insuffisantes pour porter des accusations criminelles. Monsieur le DPCP c’est possible et plausible que les témoignages soient confus, contradictoires et exagérés sans abandonner les poursuites.
autochtones
À mon avis que ce soit pour abus sexuels, intimidation, abus de pouvoir ou autres comportements qui défient toute éthique professionnelle il me semble que les dénonciations de plusieurs femmes autochtones sont trop importantes pour les rejeter du revers de la main. Pourquoi dans le cas d’enquêtes sur des policiers ce n’est pas un enquêteur indépendant qui s’occupe du dossier cela éviterait l’imbroglio de la police qui enquête sur la police?

Pour sauver la face, le DPCP a porté des accusations contre deux policiers de Shefferville car il existait des preuves suffisantes mais ce sont des policiers à la retraite qui ont beaucoup moins à perdrent que ceux de Val D’or. Il faut que le gouvernement fasse enquête sur l’ensemble du dossier.

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