La ministre du parti conservateur représentant la région de Québec à Ottawa Madame Josée Verner vient de déclarer que le silence du Parti Québécois (PQ) et du Bloc Québécois (BQ) dans la turbulente tourmente de la reconstitution de la bataille des plaines d’Abraham est un appui aux opposants et à la violence.
De toute façon, la poudre aux yeux lancée aux millions de Québécois, lors de la dernière campagne électorale de décembre 2008, par Jean Charest et Monique Jérôme-Forget n’a pas convaincu une vraie majorité de citoyens.
Qui croyait le premier ministre du Québec Jean Charest et sa ministre des finances Madame Jérôme Forget lors de la campagne électorale de décembre dernier lorsqu’ils ne nous annonçaient aucun déficit pour les prochaines années?
L’article de Michèle Ouimet dernièrement parut dans la presse intitulé nous fait grandement réfléchir.
À peine arrivé de son luxueux voyage à Paris au frais des contribuables de la ville de Québec, notre précieux maire Régis Labeaume déclare qu’il s’attend à en voir des vertes et des pas mûres lors de la prochaine campagne électorale à la ville de Québec.
Certains de nos dirigeants à différents paliers de gouvernements veulent légiférer sur l’achat, l’utilisation et même proposer l‘arrêt du chauffage avec des poêles à bois afin de protéger l’environnement, de réduire la pollution et de diminuer le smog.
Du Général Charles de Gaules 1959 avec sa déclaration de <vivre le Québec libre (24 juillet 1967) en passant par les Pompidou 1969, Giscard D’Estaing 1974, Mitterrand 1981, Chirac !995 nous sommes aujourd’hui au prise avec un Nicolas Sarkozy qui fait preuve de méconnaissance totale de la réalité du Québec.
Le débat sur la conservation de la façade de l’ancienne église St-Vincent-de-Paul qui abritait le patro du même nom arrive trop tard et le tataouinage sur le déplacement pierre par pierre de la façade est de la poudre aux yeux et du gaspillage psychologique.
De plus, n’écoutant que son courage, nous apprenons qu’il songe à privatiser la gestion d’ExpoCité et, en compagnie du pdg du centre des congrès Michel Bouchard
Je suis d’accord avec le titre de votre chronique toutefois un peu moins sur la stabilité de l’option souverainiste dont vous faites mention.